Refuge ! Joey's home

Voilà, ici c'est ma cabane ! Suspendue dans les arbres ou j'ai une vue prenante sur toute l'étendue de la forêt ! Mes yeux de lynx vous ont à l'oeil !

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j'arrivais à proximité de la clairrière et je m'arretais près d'un chêne pour souffler un peu . Quelle créature avait pu dévorer cet homme de la sorte ? Ce ne pouvait être un loup , pas de cette façon .

Je sortais alors l'étoffe de ma poche , et la faisait glisser entre mes doigts . J'essayais de me concentrer sur cet objet pour avoir une image de ce qui avait pu se passer .
C'est alors qu'une main se posa sur mon épaule fermement .
" Que faites -vous là ?"

Une silhouette féminine m'apparut ! Je m'approche furtivement de ce visiteur impromptu qui marche près de ma cabane...je l'interpelle : "Que faites-vous là ?"
Lorsqu'elle se retourne, je suis saisi par sa beautée...ma main, prête à sortir mon éppée de son fourreau, retombe le long de mes hanches...aucun son ne sort de ma bouche...je suis sans voix...je ne peux quitter ses yeux du regard...

" Je , je , je viens de trouver la carcasse d'un homme qui a été dévorée par je ne sais quelle créature ! Vous êtes le gardien de la forêt ? Skald , notre grand Chaman m'a parlé de vous . Là bas , le cadavre se trouve là bas " .
Il me prit alors l'étoffe des mains et je pu lire dans ses yeux qu'il savait à qui elle appartenait .

Je tremblais de peur .

Je décidais de l'emmener sur le lieu ou se trouvait le corps inerte .

Ce morceau d'etoffe ne peut appartenir qu'à quelqu'un de la communeauté de l'eau...

La fixant droit dans les yeux je lui demande de tout me raconter et lui offre l'hospitalité pour la nuit ! Au moins elle sera en sureté..si je veille auprès d'elle ! La malheureuse tremble de tout son corps...
Avant de sombrer dans le sommeil, elle me raconta les raisons de sa présence ici...

Le lendemain matin il me guida jusqu'au petit pont qui séparait la forêt des marais , mais il ne pouvait venir avec moi , il avait une enigme à résoudre concernant ce cadavre , et si d'infâmes créatures sanguinaires erraient dans la forêt , il se devait de les combattre en temps que gardien de Celesterra .
Je décidais d'emmener l'étoffe avec moi , Joey m'avait dit qu'il appartenait au peuple des eaux , je me devais de le rendre à la grande Prêtresse .

Je le remerciais alors de son hospitalité et lui donna rendez-vous dans dix jours sur le petit pont . Si je n'étais pas là dans dix jours nous en avions décidé qu'il viendrait à ma recherche .

Il me tendit un petit sifflet que je devais remettre à Tristelame en main propre , sans me dire pourquoi , mais il avait confiance en moi .

Je traversais alors le pont sans me retourner , la peur au ventre .

Maître des marais Nombre de messages : 90 Date d'inscription : 03/05/2006

Alors que Joey etait chez lui somnolant, un feu aussi silencieux qu'insinueux commença a prendre près de sa cabane....
Les flammes commençaient doucement à lecher les contours de l'arbre qui soutenait sa cabane.
Mais d'ou venait ce feu ?

J'etais donc la moi le maraudeur au pied de cet arbre une torche a la main, poussant un rire sardonique, j'avais mis le feu pour que Joey trépasse pour de bon, je psalmodiais de incantations séculaires, et les flammes montaient doucement prenant la forme d'un brasier.

Il devait donc mourir trop intrépide et provocateur qu'il était...il se réveilla sans doute a cause de la chaleur dégager par ce feu, mais les flammes étaient maintenant sur sa cabane, je le voyais paniqué, moi je continuais mes incantation, dansant, et chantant devant cette purification faite par le feu.

L'arbre commença alors doucement a s'incliner, joey paniquant totalement se jeta dans le vide, puis l'abre s'ecroula totalement le feu avait fait son acte vengeur.

Mais joey etait encore vivant, un bras arracher, une jambe a moitié coupée, en sautant il avait très mal atterri, comme une vieille souche pourrie, le sang giclait de partout, je m'approcha de lui il me regarda agonisant.

"Je vais maintenant te délivrer de tes souffrances pauvre fou ! ".

Avec mon épée je lui transperça le corps de part en part transperçant sa rate et son pancreas, il passa de vie à trépas.

Je poussa alors un cri de joie, il etait enfin mort ce renégat.

Mais je devait prendre un trophée, je lui pris tout l'argent qu'il avait sur lui, cet idiot avec tout sur lui....quel amateur...

Je décida de lui trancher la tête, ça serait mon trophée ultime, d'un coup sec je fis tout ça avec force et allégresse.

Le reste de son corps sera manger par les parasites et la vermine.

Puis je rentra chez moi.....fiers de mon acte.